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Le sang sèche vite en entrant dans l'histoire

Cette phrase extraite de la chanson de Jean Ferrat exprime en quelques mots la problématique d’après-guerre :

Dès les années 50, des voix se sont levées pour mettre en garde contre l’oubli et – peut-être pire ! – contre la mémoire aseptisée :

 

Une mémoire aux multiples visages de 1945 à nos jours.

Jean Lafaurie, résistant déporté, prend appui sur la poésie et le théâtre pour fustiger l’oubli.

En 1954, Alain Resnais produit un documentaire qui dit la vérité sur la collaboration, au risque d’être censuré.

En 1963, Jean Ferrat pointe, hier comme aujourd’hui, les silences et les oublis coupables…

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