A-Dieu, Blandine
Nous vous informons, avec regret du décès de Blandine Rondot le mercredi 25 septembre.
Blandine était proche de la congrégation des Oblats. En 1963, elle s’était engagée dans l’Institut séculier fondé par Louis-Marie Parent, omi: les Oblates missionnaires de Marie-Immaculée.
Née au Barboux le 18 septembre 1930 à la ferme familiale de Marie et Constant Rondot, Blandine, était le deuxième de quatorze enfants et eut à s’occuper de ses frères et sœurs. À 27 ans, elle suivit des études d’infirmière à Besançon et exerça ce métier à l’hôpital.
En 1963, elle rejoignait la mission oblate du Nord-Cameroun – Tchad comme laïque consacrée chez les Oblates missionnaires de Marie-Immaculée. Pendant 31 ans, elle allait s’occuper de la maison d’accueil et d’animation rurale à Maroua au Cameroun, puis à Lama au Tchad.
Lors de ses retours en France, Blandine initiait sa famille à la culture africaine.
À son retour définitif, elle s’installa quelques temps à Nancy puis à Nice pour s’occuper de confrères Oblats âgés, notamment Jean Goulard). Par la suite, elle s’engagea dans l’association JALMAV (jusqu’à la mort, accompagner la vie) à Besançon.
Après quelques temps de retraite du côté de Lyon, Blandine souhaita se rapprocher de sa famille, en arrivant à Lons-le-Saunier chez les Petites sœurs des pauvres qui l’ont accompagnée jusqu’à son décès.
Elle a été inhumée samedi 28 septembre.
Témoignage de Geta qui travaille à notre communauté de Nice
C’est avec tristesse que j’apprends le décès de Blandine que j’ai bien connue dans la communauté de Nice où on a partagé beaucoup de moments ensemble.
« Toi qui as été toujours accueillante, souriante et pleine de volonté, j’ai tant appris à tes côtés. Quel cadeau superbe Dieu m’a fait de te rencontrer…
MERCI pour ta présence, pour ton sourire que je garde comme un rayon de lumière dans mon cœur.
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